GANG OF FOUR : le punk croise le hard-funk
Hugo Burnham: Les Américains ont été abasourdis quand on a tourné là-bas parce qu’on rockait dur, plutôt que de se tenir plantés là dans des longs imperméables à avoir l’air malheureux, comme tout bon groupe postpunk. C’est pour ça qu’on a si bien marché...